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pour comprendre les symptômes, le diagnostic, les traitements, vivre avec et se sentir mieux

Endométriose. Un mot qui résonne avec douleur, frustration et incompréhension pour des millions de femmes à travers le monde. Cette maladie gynécologique dite chronique, qui touche environ 1 femme sur 10 en âge de procréer, est souvent méconnue, mal diagnostiquée et difficile à vivre au quotidien. Douleurs pelviennes, règles douloureuses, fatigue, infertilité… l’endométriose peut impacter tous les aspects de la vie d’une femme.

Mais il est temps de briser le silence et de sortir de l’ombre ! Ce guide complet est là pour t’accompagner sur le chemin de la compréhension, de la guérison et du bien-être. On va décortiquer ensemble les mécanismes de la maladie, les différents symptômes, les options de diagnostic et les traitements disponibles. On explorera aussi des solutions naturelles et des techniques de bien-être pour apaiser les douleurs et améliorer ta qualité de vie.

Alors, prête à reprendre le pouvoir sur ton corps et à vivre l’endométriose en douceur ?

1. Comprendre l’endométriose

1.1 Qu’est-ce que l’endométriose ? Définition simple et claire

L’endométriose, c’est un peu comme si des cellules semblables à celles de la muqueuse de ton utérus (l’endomètre) décidaient de partir en voyage et de s’installer ailleurs dans ton corps. Ces petites voyageuses, on les appelle des lésions d’endométriose, et elles peuvent se nicher un peu partout : sur tes ovaires, tes trompes, ta vessie, ton intestin, et même parfois plus loin, sur ton diaphragme ou tes poumons.

Le problème ? C’est que ces lésions, même si elles sont loin de chez elles, continuent de réagir aux hormones de ton cycle menstruel, particulièrement aux oestrogènes. Chaque mois, elles s’épaississent, saignent, et créent de l’inflammation, des douleurs, et parfois des kystes. Pas cool du tout, n’est-ce pas ?

1.2 Les différents types d’endométriose

Comme on est toutes différentes, l’endométriose se manifeste de façon variée. On peut la classer en 3 grandes catégories :

  • Endométriose superficielle (ou péritonéale) : C’est la forme la plus courante. Les lésions sont comme de petites taches sur la surface du péritoine, la membrane qui tapisse l’intérieur de ton ventre.
  • Endométriose ovarienne : Là, les lésions s’installent sur tes ovaires et peuvent former des kystes remplis de sang, appelés endométriomes.
  • Endométriose pelvienne profonde : C’est la forme la plus sévère. Les lésions s’infiltrent en profondeur dans les tissus et les organes, comme le rectum, la vessie ou les uretères.

Les médecins parlent aussi de stade allant de stade I à 4, le stade 4 étant le plus élevé avec atteinte d’autres organes. Il est important de savoir qu’un stade important n’est pas forcément égal à plus de douleurs ou infertilité. Il y a des femmes qui ont une endométriose de stade 4 sans énormes douleurs alors qu’une autre peut avoir une endométriose de stade 1 avec des douleurs ++ ainsi qu’une difficulté à concevoir.

⠀Peu importe le type d’endométriose que tu as, l’important, c’est de l’identifier et de la prendre en charge. Parce que oui, on peut vivre avec l’endométriose et même se sentir bien, on va le voir ensemble.

1.3 Causes et facteurs de risque : démêler le mystère de l’endométriose

La grande question, c’est pourquoi certaines femmes développent de l’endométriose et d’autres non ? La vérité, c’est qu’on ne sait pas vraiment. 

Les chercheurs ont plusieurs hypothèses :

  • Le reflux menstruel : Une partie du sang des règles remonterait dans les trompes et se répandrait dans l’abdomen, permettant aux cellules de l’endomètre de s’implanter.
  • La métaplasie : Certaines cellules de l’abdomen se transformeraient spontanément en cellules de l’endomètre.
  • La migration de cellules souches : Des cellules souches se déplaceraient dans l’organisme et se transformeraient en cellules de l’endomètre.

⠀Mais ce n’est pas tout ! Il y a aussi des facteurs qui augmentent le risque d’endométriose :

  • Les antécédents familiaux : Si ta maman ou ta sœur ont de l’endométriose, tu as plus de risques d’en avoir aussi.
  • Les caractéristiques du cycle menstruel : Des règles précoces, des cycles courts et des règles abondantes peuvent favoriser la maladie.
  • L’exposition aux perturbateurs endocriniens : On soupçonne les produits chimiques qui imitent les hormones d’avoir un impact sur l’endométriose.
endométriose

Partie 2 : Reconnaître les symptômes

2.1 Douleurs pelviennes et endométriose : identifier les signaux d’alerte

La douleur, c’est le symptôme principal de l’endométriose. Mais attention, pas n’importe quelle douleur ! On parle ici de douleurs pelviennes, c’est-à-dire dans le bas du ventre, qui peuvent être :

  • Chroniques : présentes en permanence, comme un poids sur le bas-ventre, ou des tiraillements.
  • Cycliques : liées à ton cycle menstruel, avec des pics de douleur juste avant, pendant ou après les règles.
  • Aiguës : comme des coups de poignard, qui te font te plier en deux.

⠀Ces douleurs peuvent aussi irradier dans le bas du dos, les jambes, le rectum… elles peuvent être liées aux règles, à l’ovulation, aux rapports sexuels ou à notre digestion et peuvent s’accompagner d’autres symptômes, comme des nausées, des vomissements, de la fatigue… Bref, un vrai calvaire !

2.2 Règles douloureuses et saignements : quand s’inquiéter ?

On sait toutes que les règles, ce n’est pas toujours une partie de plaisir. Mais il y a une différence entre un inconfort et des douleurs qui te clouent au lit.

Si tes règles sont tellement douloureuses que tu ne peux pas vivre normalement, c’est un signal d’alarme. Surtout si les douleurs s’intensifient au fil des cycles, résistent aux antidouleurs classiques, et s’accompagnent de saignements abondants ou de caillots.

N’oublie pas, les règles, c’est le baromètre de ta santé féminine. Ecoute ce que ton corps te dit !

2.3 Autres symptômes : fatigue, troubles digestifs, infertilité

L’endométriose peut se manifester de multiples façons. Parmi les autres symptômes fréquents, on peut retrouver :

  • Fatigue chronique : Tu te sens épuisée en permanence, même après une bonne nuit de sommeil.
  • Douleurs pendant les rapports sexuels : en fonction des positions 
  • Troubles digestifs : Ballonnements, constipation, diarrhée, nausées, douleurs abdominales…
  • Troubles urinaires : Douleurs en urinant, envie fréquente d’uriner, sang dans les urines…
  • Infertilité : L’endométriose est la première cause d’infertilité en France.

⠀Si tu ressens un ou plusieurs de ces symptômes, surtout s’ils sont cycliques et liés à tes règles, il est important d’aller consulter un professionnel de santé mais surtout UN SPECIALISTE DE L’ENDOMETRIOSE. N’attends pas que la situation empire et va tout de suite chez les professionnels reconnus pour ne pas te faire balader pendant des années.

Partie 3 : Diagnostic et parcours de soins

3.1 Endométriose : le parcours du combattant vers le diagnostic

Malheureusement, le diagnostic de l’endométriose est souvent un vrai parcours du combattant. Entre la banalisation des douleurs de règles, le manque de connaissances de certains professionnels de santé et la complexité de la maladie, on peut facilement se sentir perdue et incomprise.

Il faut compter en moyenne 7 ans entre l’apparition des premiers symptômes et le diagnostic définitif. 7 ans de douleurs, d’errance médicale, de doutes et de frustration, c’est bien mieux qu’avant car ma génération, celles qui comme moi ont une quarantaine d’années arrivent souvent aux 15 d’errance! C’est beaucoup trop long !

Heureusement, les choses commencent à changer. La parole se libère, les femmes osent parler de leurs douleurs, et les médecins sont de plus en plus sensibilisés à l’endométriose. 

Mais il reste encore beaucoup à faire pour améliorer le parcours de soins des patientes.

D’ailleurs tu savais que lors d’un sondage datant de l’année dernière auprès de médecins généralistes : les réponses aux questionnaires liés à l’endométriose ont eu pour résultat en moyenne 16 réponses justes sur 28. C’est triste de se dire qu’en lisant cet article tu en sais plus que la plupart des médecins généralistes et même que certains gynécologues car oui ils commencent tout juste à être formés!

3.2 Echographie, IRM, cœlioscopie : quels examens pour détecter l’endométriose ?

Pour diagnostiquer l’endométriose, il n’existe pas un seul examen miracle. Le médecin va d’abord t’interroger sur tes symptômes et réaliser un examen clinique.  C’est le meilleur moyen de diagnostic cité par les SPECIALISTES. Je le remets en majuscule car oui c’est vers eux qu’il faut absolument te tourner. Puis, il pourra te prescrire différents examens d’imagerie  pour confirmer son diagnostic et définir la meilleure stratégie de soin en fonction des lésions mais aussi de ton âge, de tes projets de maternité et de ton parcours:

  • L’échographie pelvienne : C’est souvent le premier examen réalisé. Il permet de visualiser les organes du pelvis et de détecter d’éventuels kystes ovariens.
  • L’IRM pelvienne : Elle permet d’avoir une image plus précise des lésions d’endométriose, notamment profondes. Mais certaines lésions n’apparaissent pas à l’imagerie.
  • Le test salivaire : Il est très cher et non remboursé encore. Il n’y a pas assez de recul encore pour prouver son efficacité.
  • La cœlioscopie : C’était l’examen de référence pour un diagnostic définitif. Le chirurgien introduisait une petite caméra dans l’abdomen pour observer directement les lésions et éventuellement les retirer. Cet examen ne se fait plus. Quand les spécialistes opèrent ils le font de manière préparée.
endométriose chirurgien

3.3 Trouver le bon médecin : l’importance d’un spécialiste de l’endométriose

Face à l’endométriose, je te l’ai déjà dit ici il est crucial de trouver un médecin qui te comprenne et qui soit spécialisé dans cette maladie. Malheureusement, tous les gynécologues ne sont pas forcément experts en endométriose. Ils sont très peu et donc le délai d’attente peut être long mais c’est mieux que de ne pas être prise en charge correctement.

N’hésite pas à demander conseil à ton entourage, aux autres femmes sur mon groupe Facebook ou à consulter les annuaires en ligne des centres spécialisés.

Pour la Suisse je te recommande le Professeur Wenger et son équipe à Genève (hôpital de la Tour) ou le dr Possover à Zurich spécialisé pour les atteintes neuropatiques.

En France ceux que je connais et que je peux te conseiller sont le Dr Tassy à Nice et le Dr Petit à Paris.

Un bon médecin, c’est un médecin qui t’écoute, qui te prend au sérieux, et qui te propose une prise en charge spécialisée adaptée à ta situation.

Partie 4 : Traitements et solutions

4.1 Endométriose : arsenal thérapeutique pour soulager la douleur

Il existe des solutions médicales proposées habituellement pour apaiser les douleurs de l’endométriose et améliorer ta qualité de vie. On peut les classer en trois grandes catégories :

  • Traitements médicamenteux : On commence souvent par des antalgiques (paracétamol, anti-inflammatoires) pour calmer la douleur.  Certains médecins prescrivent aussi de la morphine. Mais attention, ce n’est qu’une solution temporaire et il faut éviter de les prendre sur le long terme car ils ont un impact sur ton foie et tes systèmes d’éliminations.
  • Traitements hormonaux : L’objectif ici, c’est de bloquer ou de réguler ton cycle menstruel pour éviter les règles et donc les saignements. Le but, que les lésions d’endométriose ne saignent pas et ne provoquent donc ni inflammation ni douleurs. La pilule contraceptive en continu, le stérilet hormonal ou encore la ménopause artificielle sont des options qui sont proposées aux femmes le plus souvent. Attention ces traitements ne traitent ou ne soignent pas, ils stoppent tout simplement pour un temps. Ils fonctionnent après un temps d’adaptation plus ou moins facile d’une durée de trois mois en général. Chez certaines femmes il faut noter qu’ils ne fonctionnement malheureusement pas.
  • Chirurgie : Quand les douleurs sont trop intenses,que les traitements médicamenteux ne suffisent pas, que le projet de la patient est claire et bien défini avec le spécialiste, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour retirer les lésions d’endométriose.

J’ai envie de préciser ici que l’hystérectomie (retirer l’utérus) n’est pas forcément LA solution, car certaines femmes n’ont pas vu de changements après cette intervention, les lésions douloureuses se situant ailleurs.

Le choix du traitement dépend donc de la sévérité de tes symptômes, de tes envies et de ton projet de vie (désir de grossesse ou non)

endométriose et pilule

4.2 Traitements hormonaux : pilule, DIU, ménopause artificielle… avantages et inconvénients

Les traitements hormonaux sont souvent la première ligne de défense contre l’endométriose. Ils ont l’avantage de
calmer les douleurs et de ralentir la progression de la maladie.

Voici les options les plus courantes :

  • La pilule contraceptive en continu : Elle empêche l’ovulation et les règles, ce qui met les lésions d’endométriose au repos.
  • Le DIU hormonal : Il libère de la progestérone localement, ce qui a un effet similaire à la pilule.
  • La ménopause artificielle : Elle est provoquée par des injections d’hormones qui bloquent le fonctionnement des ovaires.

Chaque traitement hormonal a ses avantages et ses inconvénients. Par exemple, la pilule peut avoir des effets secondaires comme la prise de poids, des troubles de l’humeur ou la baisse de libido, tandis que la ménopause artificielle peut provoquer les mêmes symptômes mais également des bouffées de chaleur et une sécheresse vaginale.

Il est important de discuter avec ton médecin pour choisir le traitement hormonal le plus adapté à ta situation.

Si tu optes pour un traitement hormonal, j’ai un super petit programme qui peut t’aider à soutenir ton corps en parallèle pour éviter que tout flambe le jour où tu l’arrêteras car finalement le but c’est de mettre douleurs et progression en pause tout en ayant de l’énergie pour mettre des choses en place au naturel afin qu’une fois le traitement stoppé, la maladie ne revienne pas en force.

4.3 Chirurgie de l’endométriose : quand est-elle nécessaire ?

La chirurgie est une option à envisager quand :

  • Les douleurs sont très intenses et ne sont pas soulagées par les traitements médicamenteux.
  • L’endométriose provoque des complications, comme une infertilité ou une atteinte d’autres organes avec des risques pour ta santé
  • Il y a des kystes volumineux qui doivent être retirés.

⠀La chirurgie de l’endométriose est une intervention délicate qui doit être réalisée par un chirurgien spécialisé. Il est important de bien se renseigner et de choisir un expert en la matière.

Découvre ici mon article de blog pour les meilleures options d’opération

Après la chirurgie, les spécialistes te proposeront un suivi régulier et des traitements complémentaires (pilule progestative en général) pour éviter les récidives.

Partie 5 : Vivre avec l’endométriose

5.1 Endométriose et qualité de vie : conseils pour un quotidien plus serein

Vivre avec l’endométriose, c’est un défi au quotidien. Mais ne te décourage pas ! En adaptant ton mode de vie et en trouvant les bonnes astuces, tu peux retrouver une qualité de vie et te sentir mieux dans ton corps. Et là crois-moi j’en suis devenue une spécialiste et tu trouveras une mine d’or de ressources sur ce blog et dans mes programmes en ligne ou alors en prenant rdv avec moi!

Voici quelques conseils :

  • Écoute ton corps : Apprends à reconnaître tes limites et à respecter ton rythme. Si tu es fatiguée, repose-toi. Si tu as mal, ne te force pas.
  • Diminue le stress : Le stress peut aggraver les symptômes de l’endométriose. Trouve des techniques de relaxation qui te conviennent, comme le yin yoga, la méditation ou la respiration. C’est mon sujet préféré et j’en ai beaucoup parlé sur le blog et en parlerai encore, il est capital de soutenir ton système nerveux!
  • Bouge ton corps : L’activité physique douce, comme la marche, la natation ou le yoga, peut aider à soulager les douleurs et à améliorer ton bien-être.
  • Parle-en : N’hésite pas à parler de ton endométriose à ton entourage, à tes amis, à ta famille. Tu verras, tu n’es pas seule !
  • Trouve du soutien : Rejoins des groupes de soutien en ligne ou en présentiel pour échanger avec d’autres femmes atteintes d’endométriose. Je propose régulièrement des cercles de paroles, tu peux me contacter pour participer au prochain!

5.2 Endométriose et alimentation : quel régime adopter pour se sentir mieux ?

L’alimentation joue un rôle important dans la gestion de l’endométriose. Certains aliments peuvent aggraver l’inflammation et les douleurs, tandis que d’autres peuvent t’aider à te sentir mieux.

Voici quelques pistes à explorer :

  • Privilégie les aliments anti-inflammatoires : Fruits et légumes frais, poissons gras, oléagineux, huiles pressées à froid de bonne qualité
  • Réduis les aliments inflammatoires : Viande rouge, produits laitiers, gluten, sucre raffiné, aliments transformés
  • Fais attention aux perturbateurs endocriniens : Limite le plastique, les produits chimiques et les cosmétiques contenant des perturbateurs endocriniens. Plus d’infos ici
  • Hydrate-toi suffisamment : L’eau est essentielle pour éliminer les toxines et favoriser le bon fonctionnement de ton corps.

N’hésite pas à prendre contact avec moi ou avec un naturopathe pour un accompagnement personnalisé.

5.3 Endométriose et bien-être : yoga, méditation, médecines douces

Les médecines douces et les techniques de relaxation peuvent être de précieuses alliées pour gérer l’endométriose et ses symptômes.

Voici quelques exemples :

  • Le yoga : Le Yin Yoga est particulièrement adapté pour l’endométriose car il permet de détendre les tissus profonds, de libérer les tensions, diminuer le stress et faire circuler l’énergie.
  • La méditation : Elle t’aide à gérer le stress, à calmer ton mental et à te reconnecter à ton corps.
  • L’ostéopathie : Elle peut aider à relâcher les tensions et les adhérences au niveau du pelvis.
  • L’acupuncture / la réflexologie : Issue de la médecine traditionnelle chinoise ces techniques peuvent soulager la douleur et réguler le cycle menstruel

N’oublie pas, le chemin vers le bien-être est un chemin personnel. Explore différentes options et trouve ce qui te convient le mieux. Tu trouveras plein d’infos plus détaillées sur mon blog et dans mes programmes!

Conclusion :

L’endométriose est une maladie complexe et souvent difficile à vivre, mais il ne faut pas baisser les bras. En comprenant la maladie, en reconnaissant les symptômes, en trouvant le bon médecin et en adoptant une approche holistique de ta santé, tu peux reprendre le contrôle de ta vie et te sentir mieux dans ton corps.

N’oublie pas que tu n’es pas seule. Des millions de femmes à travers le monde partagent ton combat.

Et surtout, garde espoir ! On peut vivre avec l’endométriose et même réaliser ses rêves. Je suis la preuve vivante que c’est possible. Alors prends soin de ton corps, écoute ton intuition, entoure-toi des meilleures et avance en douceur vers une vie plus sereine et épanouie.

Pour aller plus Loin

Mon Livre

Endométriose, un chemin vers l’équilibre paru aux éditions First en juin 2021

Mes programmes pour les femmes atteintes d’endométriose :

Endosolutions

Endométriose Holistique

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Peggy Favez

Author Peggy Favez

Coach santé féminine - Blogueuse - Autrice "Endométriose un Chemin vers l'équilibre" J'accompagne les femmes à se sentir mieux dans leur corps & retrouver la santé pour une vie en douceur

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